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SAISON 2025
Convoquer l'Invisible

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Après une Saison 2024, hors norme, retour au schéma des années précédentes avec quatre expositions d’un mois chacune dans la galerie et une potentielle exposition hors les murs dans les locaux de la MJC de Durban-Corbières.

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Cette édition affichera un choix équilibré entre artistes, deux hommes et deux femmes : de générations différentes, ils bousculent les techniques pour manifester leur rapport à la nature dans l’espace et le temps, réinventant l’art de l’image. Ils visent, chacun dans leur style, par leurs images créatives et/ou leurs scénographies, à faire éclater les frontières de la photographie plasticienne. Centrés sur le concept de paysage, dans sa polysémie, leurs images l’éclairent et l’exemplifient.

Leur travail, résultante d’expériences fécondes dans la création graphique, la musique, l’architecture, la promotion d’artistes photographes au sein de galeries, la communication, leur passage par une formation dans des écoles d’art et de photographie les ont conduits à franchir une nouvelle étape dans leur recherche et leur expression. Leurs expositions, dans une « collision » des âges et des esthétiques seront une invitation à explorer notre rapport à la nature, à la culture, au temps et à l’image.

Comme les années précédentes, la dimension internationale sera sollicitée : en 2025, il est fait appel à une photographe finlandaise vivant et travaillant présentement en Ile-de-France. Auprès d’elle, un artiste d’origine bourguignonne, installé dans la Région de Gérone, un photographe genevois, installé plusieurs mois par an à Armissan dans l’Aude, une jeune photographe de la Région Aquitaine.

 

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A la découverte des artistes

Invitation à explorer notre rapport à la nature, à la culture, au temps et à l'image

Convoquer l'invisible

Jean-Pierre LAMBERT, a dirigé une galerie de photographie à Paris pendant quinze ans. Ayant séjourné les dix années suivantes en Uruguay, il y a entamé un travail photographique consacré au monde végétal qu’il poursuit aujourd’hui en Catalogne où il réside. Il tend, dans ses images vers une reconnexion à la matière et au monde au travers de paysages d’arbres, de forêts, de branchages, dans des variantes infimes.

Sa Série est composée de photos numériques en noir et blanc

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Minna KOKKO

Compositions

21 JUIN-19 JUILLET

Mise en images de différents éléments de nature végétale sous forme de cyanotypes et de lumens dans un équilibre délicat.

 

Une expression faite de transparences dans le monde végétal, les arbres en particulier.

  

Minna KOKKO vise à « figurer l’invisible, ce qui est à l’intérieur de nous et qui nous lie intimement à la nature". Elle cherche à mettre en évidence les liens qui existent entre tout ce qui est vivant, à rétablir la connexion. Son univers est empreint d’une relation particulière à la nature qui plonge ses racines dans une enfance heureuse en contact étroit avec le vivant.

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 Jean-Jacques BEGUIN

Cabinets de curiosité

26 juillet-23 août

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Fidèle à ses méthodes de fusion et de manipulations d’images, aux antipodes de l’art de l’instantané, il nous propose une déclinaison de saynètes narratives où le monde s’émancipe de la raison et de l’espace-temps. L’artiste puise dans ses propres archives photographiques pour façonner des décors souvent irréels, mais peuplés d’êtres familiers. Ces visions intemporelles et asynchrones de son environnement interpellent et offrent au spectateur un libre espace pour créer ses propres narrations.

Marine  LECUYER
BURNING

6 septembre-4 octobre

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« Burning est une fiction d’anticipation dans laquelle j’imagine un monde où l’eau n’existe plus. À la croisée du réel et de l’imaginaire, la série invite à cheminer à travers les vestiges d’un monde qui brûle, et dans lequel l’humanité se confronte à sa propre disparition. Dans cette dystopie, fragments, traces et souvenirs tissent la trame d’un récit intime, et interrogent la relation ambivalente que nous entretenons avec notre planète. Chaque élément devient tour à tour indice, symbole ou relique d’un monde suspendu, dans lequel nous ne savons plus tout à fait si la catastrophe a déjà eu lieu, ou si nous pouvons encore agir afin de l’éviter. »

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